La personne qui a harcelé Derya Uluğ a été arrêtée

La chanteuse Derya Uluğ a vécu l'un de ses moments les plus difficiles sur scène devant des milliers de fans. Ş.T., qui menace depuis longtemps lui-même et sa petite amie Asil Gök et qui fait l'objet d'une ordonnance restrictive, est venu l'autre jour à la salle de concert d'Izmir. Alors que la terreur s'abattait sur la scène, Uluğ a terminé le concert avec beaucoup de sang-froid. Cependant, il n’a pas pu cacher sa peur dans le message émotionnel qu’il a publié sur son compte de réseau social.
Uluğ a fait une déclaration après le concert et a déclaré ce qui suit :
« J'ai joué la scène la plus difficile de ma vie. Malgré toutes ces injonctions du tribunal, il est monté sur scène. J'ai terminé le concert les mains et les pieds tremblants, mais je ne veux plus me taire. »
Il a été révélé que la personne en question avait déjà été condamnée à une peine de probation, portait un bracelet électronique, avait fait l'objet d'une ordonnance restrictive et avait été condamnée à une peine de prison en attente. Malgré toutes ces sanctions légales, le suspect a continué à harceler Derya Uluğ et Asil Gök, et lorsqu'il est monté sur scène le soir du concert, ce fut la goutte d'eau qui fit déborder le vase.
DÉCLARATION DE SON AVOCAT Dans la déclaration faite par l'avocat d'Uluğ, il a été annoncé que Ş.T. a été arrêté par le juge pénal de paix en service parce qu'il a violé les ordonnances du tribunal et est entré sur la scène et a menacé ses clients.
Le communiqué indiquait : « Cette décision est une lueur d’espoir, non seulement pour mes clientes, mais aussi pour toutes les femmes confrontées à des menaces similaires. Nous suivrons l’évolution de la situation. »
Partageant une fois de plus ses sentiments sur son compte de médias sociaux suite au mandat d'arrêt, Uluğ a utilisé les phrases suivantes :
Aujourd'hui, justice a été rendue. J'espère que cette décision touchera toutes les femmes qui ne peuvent pas faire entendre leur voix, qui ne peuvent être protégées et qui sont arrachées à leur vie. Aucune femme ne devrait être le personnage principal d'une histoire qui commence par une demande de protection et se termine par la mort.
Source : Centre de presse
Tele1