Deux employés d'AT parmi les quatre détenus par la PJ lors de l'opération Porthos
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La Police Judiciaire (PJ) a arrêté aujourd'hui quatre personnes, dont deux employés de l'Autorité Fiscale (AT), et a désigné 15 accusés dans le cadre de l'« Opération Porthos » visant à lutter contre le trafic de drogue à travers les ports nationaux.
Selon le communiqué de la PJ, en plus des quatre détenus et des 15 accusés résultant de l'opération, « plus d'un demi-million d'euros en espèces, 10 véhicules et cinq armes à feu et autres ont également été saisis ».
Une source judiciaire a déclaré à Lusa que cinq accusés sont des employés d'AT, dont deux ont été arrêtés.
La PJ a effectué aujourd'hui des perquisitions dans la zone métropolitaine de Lisbonne, ainsi qu'à Setúbal, Sines et Leiria en raison de soupçons de corruption dans les ports visant l'entrée de cocaïne d'Amérique latine en Europe, a annoncé l'institution.
Dans un communiqué, la PJ a déclaré que l'opération Porthos « enquête sur le bénéfice d'organisations criminelles vouées à l'exportation de grandes quantités de cocaïne en provenance d'Amérique latine ».
« Ces organisations criminelles utilisent les ports maritimes nationaux comme porte d'entrée pour les produits narcotiques vers le continent européen, cachés dans divers produits emballés dans des conteneurs », ajoute l'institution.
L'enquête est le fruit d'une coopération policière internationale et porte sur des soupçons de corruption active et passive, de trafic de drogue et de blanchiment d'argent.
Selon CNN Portugal, la PJ soupçonne que les employés de l'administration fiscale aux douanes ont été soudoyés par le Primeiro Comando da Capital, du Brésil, et par des cartels colombiens pour laisser passer la drogue.
Sur le terrain, 150 inspecteurs et experts de la PJ étaient présents, accompagnés de quatre magistrats du Ministère public.
32 mandats de perquisition ont été exécutés, dont 14 résidentiels et 18 non résidentiels, pour « recueillir des preuves supplémentaires ».
L'enquête se poursuivra dans le cadre d'une enquête menée par la Direction centrale d'investigation et d'action pénale (DCIAP) du Ministère public.
La Police Judiciaire (PJ) a arrêté aujourd'hui quatre personnes, dont deux employés de l'Autorité Fiscale (AT), et a désigné 15 accusés dans le cadre de l'« Opération Porthos » visant à lutter contre le trafic de drogue à travers les ports nationaux.
Selon le communiqué de la PJ, en plus des quatre détenus et des 15 accusés résultant de l'opération, « plus d'un demi-million d'euros en espèces, 10 véhicules et cinq armes à feu et autres ont également été saisis ».
Une source judiciaire a déclaré à Lusa que cinq accusés sont des employés d'AT, dont deux ont été arrêtés.
La PJ a effectué aujourd'hui des perquisitions dans la zone métropolitaine de Lisbonne, ainsi qu'à Setúbal, Sines et Leiria en raison de soupçons de corruption dans les ports visant l'entrée de cocaïne d'Amérique latine en Europe, a annoncé l'institution.
Dans un communiqué, la PJ a déclaré que l'opération Porthos « enquête sur le bénéfice d'organisations criminelles vouées à l'exportation de grandes quantités de cocaïne en provenance d'Amérique latine ».
« Ces organisations criminelles utilisent les ports maritimes nationaux comme porte d'entrée pour les produits narcotiques vers le continent européen, cachés dans divers produits emballés dans des conteneurs », ajoute l'institution.
L'enquête est le fruit d'une coopération policière internationale et porte sur des soupçons de corruption active et passive, de trafic de drogue et de blanchiment d'argent.
Selon CNN Portugal, la PJ soupçonne que les employés de l'administration fiscale aux douanes ont été soudoyés par le Primeiro Comando da Capital, du Brésil, et par des cartels colombiens pour laisser passer la drogue.
Sur le terrain, 150 inspecteurs et experts de la PJ étaient présents, accompagnés de quatre magistrats du Ministère public.
32 mandats de perquisition ont été exécutés, dont 14 résidentiels et 18 non résidentiels, pour « recueillir des preuves supplémentaires ».
L'enquête se poursuivra dans le cadre d'une enquête menée par la Direction centrale d'investigation et d'action pénale (DCIAP) du Ministère public.
La Police Judiciaire (PJ) a arrêté aujourd'hui quatre personnes, dont deux employés de l'Autorité Fiscale (AT), et a désigné 15 accusés dans le cadre de l'« Opération Porthos » visant à lutter contre le trafic de drogue à travers les ports nationaux.
Selon le communiqué de la PJ, en plus des quatre détenus et des 15 accusés résultant de l'opération, « plus d'un demi-million d'euros en espèces, 10 véhicules et cinq armes à feu et autres ont également été saisis ».
Une source judiciaire a déclaré à Lusa que cinq accusés sont des employés d'AT, dont deux ont été arrêtés.
La PJ a effectué aujourd'hui des perquisitions dans la zone métropolitaine de Lisbonne, ainsi qu'à Setúbal, Sines et Leiria en raison de soupçons de corruption dans les ports visant l'entrée de cocaïne d'Amérique latine en Europe, a annoncé l'institution.
Dans un communiqué, la PJ a déclaré que l'opération Porthos « enquête sur le bénéfice d'organisations criminelles vouées à l'exportation de grandes quantités de cocaïne en provenance d'Amérique latine ».
« Ces organisations criminelles utilisent les ports maritimes nationaux comme porte d'entrée pour les produits narcotiques vers le continent européen, cachés dans divers produits emballés dans des conteneurs », ajoute l'institution.
L'enquête est le fruit d'une coopération policière internationale et porte sur des soupçons de corruption active et passive, de trafic de drogue et de blanchiment d'argent.
Selon CNN Portugal, la PJ soupçonne que les employés de l'administration fiscale aux douanes ont été soudoyés par le Primeiro Comando da Capital, du Brésil, et par des cartels colombiens pour laisser passer la drogue.
Sur le terrain, 150 inspecteurs et experts de la PJ étaient présents, accompagnés de quatre magistrats du Ministère public.
32 mandats de perquisition ont été exécutés, dont 14 résidentiels et 18 non résidentiels, pour « recueillir des preuves supplémentaires ».
L'enquête se poursuivra dans le cadre d'une enquête menée par la Direction centrale d'investigation et d'action pénale (DCIAP) du Ministère public.
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