« Ils n'ont pas de carte de santé » : les deux régimes interdits en Colombie

Quelles étaient les références interdites ?
Canva
L'Institut national de surveillance des aliments et des médicaments (Invima) a de nouveau lancé une alerte à tous les résidents colombiens concernant la vente de deux produits diététiques non homologués et donc interdits à la vente. Quels sont les détails de cette décision ?
Dans un communiqué publié sur son site web, l'autorité sanitaire a souligné que les pilules amaigrissantes SUGAR CONTROL et META FIT ne sont pas autorisées à la vente dans tout le pays et que leur vente est donc totalement illégale. Dans le même ordre d'idées, Invima a expliqué les risques pour la santé de ceux qui les consomment, notamment :
(Voir plus : Il s'agit de l'équivalent en dollars du prix remporté par le gagnant du Baloto Revancha.)
1- Augmentation de la circulation, anxiété, nervosité et tremblements. 2- Troubles du sommeil et fatigue. 3- Dommages à certains organes. 4- Rétention d'eau. Dans ce communiqué, l'institution rappelle que ces produits frauduleux ne présentent aucune mesure de sécurité et ne sont pas efficaces, ce qui peut engendrer des risques pour les personnes qui les consomment.
« Ils n'ont pas de carte de santé » : les deux régimes interdits en Colombie
Invima
Le ministère de la Santé a précisé sur son site web que ce produit est destiné à compléter ou à améliorer l'alimentation quotidienne. Il est composé de divers nutriments, mais ne contient aucune substance à action thérapeutique ou pharmacologique.
(Voir plus :
Ni 60 ni 80 ans : jusqu'à cet âge, vous pouvez légalement conduire en Colombie. En général, ce sont des alternatives auxquelles les personnes sans problème de santé se tournent pour obtenir un nutriment spécifique. Par conséquent, avant d'en consommer, il est conseillé de consulter un médecin afin qu'un spécialiste puisse déterminer si ces aliments sont adaptés à votre organisme.(Voir plus : Trois fréquences hebdomadaires : Avianca a annoncé une nouvelle destination au départ de Bogotá et c'est magnifique)
Un détail important à noter est que ces suppléments ne sont actuellement pas financés par le système national de santé. « Ils sont considérés comme des exclusions », a précisé le ministère susmentionné.Portafolio