Mini valises cabine pour voyageurs malins

Nous voyageons de plus en plus léger vers nos destinations, n'emportant que le strict nécessaire , évitant ainsi les surfacturations des compagnies aériennes ou les longues files d'attente à l'enregistrement. C'est ce que révèle une étude menée par le comparateur de prix international Idealo . L'étude a analysé les intentions d'achat d'articles de cabine enregistrées sur son portail italien entre juin 2024 et mai 2025, en les comparant à celles de la même période un an plus tôt.
Ainsi, malgré la pression inflationniste générale enregistrée au cours des 12 derniers mois, les recherches de « bagages cabine » ont augmenté en moyenne de 38,5 %. Plus précisément, la hausse moyenne du prix des « sacs à dos de plus de 44 litres » et des « sacs à bandoulière cabine », de 10,5 % (de 143 € à 158 €) et de 9 % (de 55 € à 60 €), respectivement, a coïncidé avec une hausse des recherches en ligne de 87 % et 127 %, respectivement, sur une base annuelle. L'intérêt pour les « sacs à dos de moins de 44 litres » a également progressé de 40 %, tandis que celui pour les « trolleys cabine » et les « sacs à dos de moins de 20 litres » a progressé respectivement de 87 % et 10,5 %.
Outre les bagages à main , les articles liés à la vie en plein air et aux vacances à la plage sont également très recherchés. En comparant les intentions d'achat exprimées en ligne entre le 18 mai et le 16 juin 2025 à celles collectées entre le 18 avril et le 17 mai 2025, les « gonflables pour piscine » ont progressé de 181 %, les « stand-up paddle » de 82 %, les « mules » de 60 % et les « chaussures de roche » de 41 %. Parmi les articles essentiels, on trouve les « chapeaux à larges bords » (+57,9 % entre le 17 juin et le 16 juillet par rapport au mois précédent), les « chapeaux de pêcheur » (+57,7 %) et les « sacs banane » (+32 %). Enfin, les « portefeuilles pour cartes de crédit » (-8,7 %) et les « portefeuilles classiques » (-9,6 %) sont en baisse, désormais supplantés par les portefeuilles électroniques pour les paiements numériques.
La Repubblica