Besançon. Le parcours trois en un de Jean-Luc Bari

Qu’est-ce qui vous a motivé à intégrer l’école des beaux-arts de Besançon ?

« J’ai toujours fait des arts plastiques, cela faisait partie du cursus au collège et au lycée. Deux rencontres ont fortement compté dans ma volonté de faire de l’art, celle de Georges Rouault et le Molière d’Ariane Mnouchkine. Et j’ai été encouragée par une professeure en terminale. Ces années restent de très bons souvenirs, la formation était très diversifiée tant dans l’apprentissage des techniques et des disciplines que sur l’accompagnement de nos projets. En entrant aux Beaux-arts, je n’avais qu’une envie faire de l’art, je n’imaginais pas qu’on pouvait penser...

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